Chaque année, c’est pareil. La fête de fin d’année en entreprise, cette zone grise où l’on hésite entre rire, fuir ou se demander si on est couvert par l’assurance responsabilité civile.
J’ai vu des scènes mémorables et plus les années passent, plus je me dis une chose :
« si j’étais CEO ou DRH, je repenserais la manière dont on organise ces soirées«
Parce que soyons honnêtes : « alcool + bureau + ambiance euphorique” peut rapidement mettre le feu aux poudres.
Le pot de fin d’année : un vrai enjeu pour l’image interne
Quand on est salarié, on voit le verre, la musique, les collègues détendus.
Quand on est dirigeant, on devrait voir :
- des risques RH,
- des débordements possibles,
- des images virales,
- des relations inter-équipes susceptibles de se tendre,
- et surtout, des collaborateurs qui se jugeront à la machine à café.
Et entendons nous bien, ce n’est pas l’ambiance le coeur du problème.
Mais dans un environnement professionnel, les comportements ne sont jamais neutres.
Et chaque année, je me retrouve à entendre ce même scénario : une personne boit un peu trop, fait ou dit ce qu’elle ne ferait jamais en temps normal… et la confiance dans l’équipe change imperceptiblement.
En tant que fondatrice de Mocktail Magazine, je le souligne.
Si j’étais DRH, je prendrai ça très au sérieux.
L’alcool : l’outil le plus rapide… pour déclencher un bad buzz interne
Je ne moralise pas : j’aime l’ambiance, j’aime la fête, j’aimais rire avec mes collègues.
Mais j’ai vu ce que l’alcool provoque en entreprise :
des maladresses,des disputes,des confidences mal placées, des comportements qui dépassent des limites,et la table de karaoké qui cède sous le poids des artistes (j’ai pris la vidéo, puis je l’ai supprimée…).
Et si j’étais DRH ?
Je ne miserais jamais sur un open bar pour créer un “esprit d’équipe”. Parce que tout peut basculer — et très vite.
Et quand ça dérape,boom !… ça devient un sujet RH pendant des mois
Un mot de trop. Un geste déplacé. Un salarié qui s’effondre émotionnellement.
Des vidéos enregistrées et partagées. Des tensions entre services.
Une mauvaise blague qui remonte au comité de direction.
Chaque dérapage devient un dossier.
Un dossier qui coûte :
- du temps,
- de l’énergie,
- de la confiance interne,
- et parfois… de la réputation externe.
La fête de fin d’année doit être maitrisée, pour maitriser le risque juridique, social et managérial.
Aujourd’hui, il y a tant d’options sans alcool qui n’enlèvent rien à la fête ! Je ne dirai jamais de supprimer l’alcool du paysage mais d’ajouter au contraire des options sans alcool qui permettront de retrouver l’équilibre pour qu’une soirée se déroule sans encombre.
Prévoyez donc avec vos cavistes une sélection des meilleures boissons sans alcool : thé pétillant, kombucha, vin desalcoolisés, vins pétillants…ou contactez-nous, on s’occupe de tout !
